ARGENTINE – UFOLOGIE – L’ARMEE DE L’AIR ET LES OVNI (UAP OU UFO) EN 2022
L'armée
de l'air en Argentine a expliqué l'origine de plus des 350 observations d'OVNI
enregistrées dans le pays.
L'armée
de l'air analyse les objets et phénomènes non identifiés - 12/08/2023 06:01 /
Société Clarín.com / Mis à jour le 12/08/2023 06:01
Source et Traduction : https://www.argentina.gob.ar/sites/default/files/2023/10/ciae_-_la_fuerza_aerea_explico_cual_es_el_origen_de_mas_de_350_avistajes_de_ovnis_registrados_en_el_pais.pdf
Le
média CLARIN en Argentine, relai régulièrement des informations sur le dossier
des OVNI dans ce pays. C’est un support sérieux et fiable. Il est bien
introduit au sein des Forces Aériennes en Argentine et il publie de nombreuses
informations sur les activités de la cellule « OVNI « au sein de cette
administration qui à la charge de défendre le pays. L’Argentine est l’un des
quelques pays dans le monde à avoir mis en place un bureau chargé d’analyser le
phénomène Ovni.
Le Centre d'identification aérospatiale a pu identifier tous
les objets étranges ont été signalés dans le ciel argentin. Quels étaient vos conclusions.
L’existence possible d’une vie extraterrestre a été à nouveau discutée ces derniers temps. En fait quelques semaines après les déclarations de l'ancien pilote et membre des services de renseignement de l’Armée de l'air américaine, David Grusch, qui sous serment devant une commission du Capitole a déclaré que le gouvernement américain détenait des engins non terrestres ainsi que des restes d'êtres non humains.
Aux États-Unis, des programmes secrets existent depuis des décennies ce qui leur a permis de poser le pied sur la Lune et sur Mars. Ils sont concurrencés également par des puissances comme l'ancienne Union soviétique et aujourd’hui la Chine dans l'espace et l’étude de la vie extraterrestre avec la technologie la plus avancée. C'est une question que les médias argentins ont même pu évoquer avec le numéro un de la NASA, Bill Nelson, lors de sa récente visite dans le pays.
Mais la recherche d'extraterrestres et l'obsession des objets volants non identifies (OVNI) n'ont pas disparu. Soucoupes volantes dans la terminologie cinématographique des années 50, a un côté différent en Argentine, mais pas moins intéressant.
Clarin a pu apprendre que plus de 350 observations analysées par le Centre d’Identification aérospatiale (CIAE), qui dépend de l'armée de l'air, organisation chargée de la recherche et de l'analyse des objets dans l'espace ont été expliquées.
L'Argentine dont on demande l'identification de ce phénomène pourrait être résolu.
Cela signifie qu’ils ont été identifiés, qu’on savait ce qu’ils étaient. Et aucun d'entre eux n'avait quoi que ce soit à voir avec les extraterrestres, selon les rapports du CIAE, dirigé par le Commodore Ruben Lianza, un expert en systèmes aérospatiale, pilote d'essai en vol, membre du service recherche et développement entre autres
Son bureau austère, bien qu'équipé de matériel logiciel de pointe de dernière génération comme l'IPACO, est situé à l'intérieur du bâtiment Cóndor, l'un des locaux des Forces Aériennes de l’Argentine. Il dispose d'une petite équipe, généralement composée de spécialistes des jeunes comme Carolina Meliá, experte en mathématiques, en astronomie et en technologie des satellites, entre autres connaissances. Ils se voient comme « Détectives de l'espace ».
Photo prise à Jáchal (San Juan) où l'objet est passé si vite qu'à première vue, il ressemblait à une « soucoupe ». Avec analyse d'image, il se transforme en oiseau. Centre d'identification photographique aérospatiale (CIAE)
Le CIAE est chargé d'organiser, de coordonner et d'analyser ce qu’ils appellent « activités ou éléments présents ou provenant de l’aérospatiale » et qui pour une raison quelconque ne sont pas identifiés. Mais ils ne fonctionnent pas non plus avec le slogan selon lequel un OVNI est une soucoupe volante transportant des extraterrestres.
Ces enquêtes sont demandées par des organisations, mais aussi par des citoyens qui signalent des observations. Toutefois ils peuvent proposer une demande d’enquête qu’après deux actions. Ils doivent montrer ce qu’ils appellent ovni, une preuve ou une déclaration pour qu’ensuite cela déclenche une enquête sur un objet non identifié. Et cela signifie qu'ils doivent montrer des photos ou des vidéos de ce qu'ils ont vu.
Dans ce nombre de recherche d’identification de ce qui est insolite, les résultats démontrent que les analyses indiquent qu’il s’agissait principalement d’oiseaux ou d’insectes, des cas ou ont été observés des objets d’ordre astronomique, aéronautique ou astronautique ; en plus d’objets qui étaient lancés en l'air ou des objets attachés au sol par les humains eux-mêmes (balles, ballons, cerfs-volants). Dans ses conclusions, la CIAE déclare avoir également que des cas ont été identifiés comme étant des problèmes optiques issus des caméras avec lesquelles ils ont été filmés ou photographiés, tels que des reflets internes ou externes de l'objectif de la caméra.
Lianza déclare dans ses conclusions du rapport 2022 sur 68 cas analysés :
"Comme on peut le voir, les causes biologiques (oiseaux ou insectes) étaient prédominantes, car chaque fois que les gens photographient le paysage en général, la probabilité qu'un oiseau ou un insecte traverse devant la caméra est très élevée, réduisant le niveau de bruit à pratiquement 0 (zéro). L'étrangeté de la photo, à moins de croire que (comme les centaines d’oiseaux ou insectes volants autour) il y a aussi des centaines d'OVNI que seule la caméra peut voir car elle est sur une fréquence « différente ».

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