vendredi 15 août 2025

Deux nouvelles vidéos d'ovnis non résolues aux usa

L'AARO publie deux nouvelles vidéos non résolues de PAN sphériques



Site Brésilien Ovniologia.com
Dernière mise à jour : 08/08/2025 à 15h11

Des cas se sont produits en Afrique respectivement en 2022 et 2023. Dans les deux cas, l'AARO a déclaré ne pas être en mesure de déterminer si les signatures observées sur les objets provenaient d'une source physique, qu'il s'agisse d'émissions thermiques, de réflexions thermiques ou de simples erreurs d'affichage des capteurs.

Capture d'écran des vidéos publiées par AARO. Image : AARO

De l’« Orbe de Mossoul » au cas récent des controversées sphères de Buga, les rapports d’objets volants non identifiés de forme sphérique — souvent décrits comme des « sphères métalliques » — se sont accumulés ces dernières années, attirant l’attention des chercheurs et des autorités.

Le Bureau de résolution des anomalies dans tous les domaines (AARO) du Département de la Défense des États-Unis a officiellement publié trois nouvelles vidéos. L'une d'elles a été classée comme identifiée, tandis que les deux autres restent inexpliquées et ont été cataloguées comme PAN. Toutes deux montrent des sphères métalliques survolant le continent africain, l'une en 2022 et l'autre en 2023.

Dans son rapport annuel publié en octobre 2023, l'AARO a révélé que les phénomènes aériens sphériques non identifiés demeurent les plus fréquemment observés et signalés. Ce rapport compile les enregistrements de PAN du 31 août 2022 à avril 2023, et inclut des cas non signalés des années précédentes.

Au total, 291 signalements de PAN ont été analysés, dont 290 dans l'espace aérien et un dans le domaine maritime. Aucun PAN n'a été signalé dans les domaines transmédium ou spatial. La plupart des observations ont eu lieu dans l'espace aérien américain.

Le rapport précise que 25 % des cas concernaient des formes sphériques, rondes ou sphériques, suivies des formes irrégulières (6 %), ovales (4 %), rectangulaires (2 %), discales (2 %), cylindriques (1 %) et triangulaires (1 %). 5 % des cas correspondaient à des contacts de capteur ambigus, tandis que 53 % n'avaient aucune forme signalée. De plus, 21 % des objets observés présentaient des lumières, tandis que 79 % ne présentaient aucune illumination visible.

L'AARO a déclaré qu'aucun rapport n'établissait de lien entre les PAN et des effets néfastes sur la santé, mais que les éventuelles implications médicales seraient surveillées si elles se produisaient. Parmi les rapports militaires, certains PAN affichaient des vitesses élevées et une manœuvrabilité inhabituelle, mais aucun cas d'approche dangereuse d'aéronefs civils ou militaires, ni d'interférence avec les trajectoires de vol, n'a été signalé.

Bien qu'aucun des 291 signalements n'ait été attribué de manière concluante à des activités étrangères, tous font toujours l'objet d'une enquête. Le rapport souligne que seul un faible pourcentage de cas présente des « signatures intéressantes », telles que des déplacements rapides ou des morphologies inconnues.

Graphique montrant les types de PAN les plus fréquemment signalés. Image : AARO

La première vidéo, la plus courte, ne montre qu'un point noir à l'écran. Bien que captée en infrarouge, la séquence présente une signature thermique, mais n'est pas très significative visuellement. Elle démontre cependant officiellement que les sphères sont effectivement fréquemment observées dans le monde entier.

La deuxième vidéo montre un objet dont la forme, à vrai dire, ne semble pas sphérique, mais dont les caractéristiques visuelles sont similaires à celles de la première, également capturée en infrarouge. Une différence notable réside dans la « traînée » que l'objet semble laisser en se déplaçant sur la séquence.

Dans le cas de ces deux vidéos, des signatures intéressantes ont été découvertes. La première, datant de 2022 et présentée par le Commandement des États-Unis pour l'Afrique, est un enregistrement de 31 secondes capté par un capteur infrarouge embarqué sur une plateforme militaire américaine.

Les images montrent une signature thermique apparente dont les caractéristiques correspondent à celles d'un objet physique. Cependant, l'AARO n'a pas pu déterminer si la signature observée provenait d'une source physique (émission ou réflexion thermique) ou d'une autre source, telle qu'un différentiel de température ambiante ou une erreur d'affichage du capteur. Selon l'AARO, les données disponibles sont insuffisantes pour évaluer les caractéristiques de performance du phénomène.

La deuxième vidéo, réalisée en 2023, a également été présentée par le Commandement des États-Unis pour l'Afrique. Elle se compose de quatre minutes et cinquante-huit secondes d'images capturées par un capteur infrarouge embarqué sur une plateforme militaire américaine.

Les images montrent une signature thermique apparente dont les caractéristiques correspondent à celles d'un objet physique. Cependant, l'AARO ne parvient pas à déterminer si la signature observée provient d'une source physique (émission ou réflexion thermique) ou d'une autre source, telle qu'un différentiel de température dans l'environnement ou une erreur d'affichage du capteur. Les données disponibles sont insuffisantes pour évaluer les caractéristiques de performance du phénomène.

Les vidéos présentées par le Commandement des États-Unis pour l'Afrique offrent un aperçu rare et technique de la nature des phénomènes aériens non identifiés. Bien que courtes et filmées en infrarouge, elles fournissent des informations précieuses aux chercheurs et aux agences gouvernementales impliquées dans l'enquête sur ces événements.

La première vidéo, bien qu'elle ne montre qu'un point noir à l'écran, confirme la présence récurrente de sphères, qui restent l'une des formes les plus fréquemment rapportées dans les archives officielles. Cela renforce la nécessité de poursuivre les études sur ce type spécifique de PAN, car sa fréquence suggère un schéma incontournable.

La deuxième vidéo, plus longue et présentant une signature thermique qui ne ressemble pas à une sphère, élargit la gamme des formes et des comportements de ces objets. La présence d'une « traînée » thermique indique un phénomène dynamique, dont l'origine reste inconnue, ce qui soulève des questions sur les propriétés physiques et technologiques de ces engins.

Bien que les images révèlent des signatures thermiques compatibles avec des objets physiques, l'AARO souligne les limites des données disponibles pour une analyse concluante. Cette mise en garde est importante pour préserver l'intégrité scientifique, éviter des conclusions prématurées et encourager la recherche de preuves plus solides et plus détaillées


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ROCHES INTERSTELLAIRES OU VAISSEAUX SPATIAL : DIFFERENCES ?

Comment distinguer les vaisseaux spatiaux extraterrestres des roches interstellaires ?


Auteur : Avi Loeb

14 juillet 2025

Source, traduction de l’anglais * informations complémentaires :

https://avi-loeb.medium.com/how-to-distinguish-extraterrestrial-spacecraft-from-interstellar-rocks-819d14175481


La découverte d'objets interstellaires au cours de la dernière décennie soulève une question importante qui pourrait façonner l'avenir de l'humanité : comment distinguer les vaisseaux spatiaux extraterrestres des astéroïdes interstellaires ? Ces deux types d'objets réfléchissent la lumière solaire. Cependant, aucun télescope terrestre ne peut distinguer un objet de cent mètres (l'échelle de notre plus grande fusée, Starship) à une distance d'environ un milliard de kilomètres (la distance à laquelle 3I/ATLAS a été découvert le 1er juillet 2025).

Photo - Image représentant un bolide imaginaire dans l’espace

Malheureusement, nous ne pouvons pas compter sur les observateurs du ciel pour nous alerter de la possibilité qu'un vaisseau spatial vienne d'entrer dans le système solaire. Même après que le premier objet interstellaire signalé, 1I/`Oumuamua, ait présenté les anomalies d'une forme plate et d'une accélération non gravitationnelle sans queue cométaire qui le distinguaient de tout astéroïde ou comète connu, il a néanmoins été qualifié de « comète noire », c'est-à-dire une comète dépourvue de la signature unique qui la désignerait comme telle : un panache visible de gaz et de poussière. Selon cette définition, tout objet lancé par l'homme dans l'espace, propulsé par le carburant d'une fusée ou la pression du rayonnement solaire, est une comète noire.

Le mieux que nous puissions espérer, ce sont des astronomes courageux qui admettraient les anomalies présentées par les valeurs aberrantes, à savoir des caractéristiques qui pourraient mieux correspondre à la description d’un objet fabriqué technologiquement qu’à celle d’une roche naturelle.

J'ai récemment répertorié les anomalies du nouvel objet interstellaire 3I/ATLAS. Cet objet est anormalement brillant, ce qui implique un diamètre d'environ 20 kilomètres pour la réflectance typique des astéroïdes. Le diamètre et le taux de détection impliqués sont intenables compte tenu du budget massique des astéroïdes interstellaires, comme je l'ai démontré dans un nouvel article, récemment publié dans les Notes de recherche de l'American Astronomical Society. Si 3I/ATLAS est une comète, son noyau doit être d'un ordre de grandeur plus petit. Mais s'il ne possède pas de grand panache cométaire de poussière ou de gaz, quelle est la nature de cet objet ?

Sans cette question, l'humanité restera à l'âge de pierre en ce qui concerne les objets interstellaires. Même si 3I/ATLAS apparaît comme une véritable comète, comme 2I/Borisov, en se rapprochant du Soleil et en se réchauffant, nous devrions toujours nous poser cette question concernant les futurs objets interstellaires.

Une comète interstellaire est facile à identifier grâce à sa queue. Mais quels sont les marqueurs permettant de distinguer un objet interstellaire technologique – un vaisseau spatial – d'un astéroïde ? En voici quelques-uns :

1. Propulsion : un moteur central ou une pression de rayonnement solaire (comme je l'ai suggéré dans un article avec Shmuel Bialy pour 1I/'Oumuamua) entraînerait un objet technologique à dévier d'une orbite hyperbolique képlérienne, dictée uniquement par la gravité.

2. Trajectoire : la trajectoire de l'objet pourrait cibler sélectivement les planètes intérieures du système solaire. Par exemple, le plan orbital de 3I/ATLAS se situait à moins de 5 degrés du plan de l'écliptique de l'orbite terrestre autour du Soleil. La probabilité que ces moments angulaires orbitaux soient aussi bien alignés est d'environ 0,001, comme je l'ai mentionné dans mon récent essai sur les anomalies .

3. Lumières artificielles : La réflexion de la lumière solaire peut être distinguée de la lumière artificielle par son spectre et par son déclin plus rapide à mesure que l'on s'éloigne du Soleil, comme je l'ai expliqué dans un article avec Ed Turner.

4. Forme : Une forme artificielle peut être déduite de la courbe de lumière réfléchie par la lumière solaire lors de la rotation de l'objet. C'est ainsi que Sergueï Machtchenko a déduit que 1I/'Oumuamua avait la forme d'un disque .

5. Image d'un survol : La résolution des détails de la surface de l'objet permettrait de distinguer instantanément un objet technologique d'un rocher. Une telle image peut être prise par une caméra lors d'une mission d'interception dédiée ou si l'objet passe très près de la Terre. L'atterrissage sur un objet technologique dans le cadre d'une mission de rendez-vous comme OSIRIS-REx offrirait l'avantage d'une inspection directe, avec notamment la possibilité d'appuyer sur des boutons.

6. Composition de la surface : la spectroscopie à distance de la surface pourrait révéler des signatures de bombardement par des rayons cosmiques, des particules de poussière interstellaire et des protons interstellaires. Le taux de dépôt d'énergie est proportionnel à la vitesse au cube et à la durée du trajet. Les objets plus rapides ou plus anciens devraient être davantage marqués par les dommages interstellaires.

7. Signaux : Un dispositif technologique fonctionnel pourrait transmettre des signes électromagnétiques que les télescopes terrestres pourraient rechercher sur une large gamme de fréquences allant de la radio aux rayons gamma.

8. Lancement de mini-sondes depuis un vaisseau-mère : Un moyen efficace d'ensemencer des planètes habitables avec des sondes est de passer près d'elles et de libérer de petits appareils au bon moment et au bon endroit avec la vitesse appropriée, afin qu'ils interceptent les planètes pendant que le vaisseau-mère continue son voyage vers l'étoile suivante.

Ironiquement, 3I/ATLAS a été découvert par le petit télescope ATLAS, d'un diamètre d'ouverture d'un demi-mètre, le même mois où l'observatoire Rubin, d'une ouverture de 8,36 mètres, a commencé à rechercher des objets interstellaires depuis presque le même endroit, au Chili. Au cours de la prochaine décennie, l'observatoire Rubin devrait découvrir des dizaines de nouveaux objets interstellaires.

Mon plaidoyer est simple. Nous devrions étudier les données de Rubin en étant ouverts à la possibilité qu'elles puissent révéler des objets technologiques issus de civilisations extraterrestres. Si nous persistons à penser que tous les objets interstellaires sont des astéroïdes et des comètes, les objets aberrants étant catalogués comme des comètes noires, alors la réponse à la question « Sommes-nous seuls ? » serait « Oui, par choix ». Certaines des personnes les plus seules au monde sont celles qui ont renoncé à chercher un partenaire. Leur statut est une prophétie autoréalisatrice. Pour trouver nos partenaires cosmiques, nous devons leur permettre d'exister dans notre esprit lorsque nous examinons les données de Rubin. Nous devrions étudier les données de Rubin avec un esprit ouvert quant à la possibilité qu'elles puissent découvrir des objets technologiques provenant d’une civilisation extraterrestre. Si nous persistons à penser que tous les objets interstellaires sont des astéroïdes et des comètes, les objets aberrants étant catalogués comme des comètes sombres, alors la réponse à la question « Sommes-nous seuls ? » serait « Oui, par choix ». Certaines des personnes les plus solitaires au monde sont celles qui ont cessé de chercher un partenaire. Leur statut est une prophétie autoréalisatrice. Afin de trouver nos partenaires cosmiques, nous devons leur permettre d'exister dans notre esprit lorsque nous examinons les données de Rubin.

Il est certain que des objets interstellaires passaient au-dessus de nos têtes dans le ciel en 1950 quand Enrico Fermi a demandé : « Où sont tous les autres ? » En tant que physicien expérimental, son erreur n’était pas de construire un grand télescope pour les rechercher.


À PROPOS DE L'AUTEUR DR AVI LOEB

Avi Loeb est à la tête du projet Galileo, directeur fondateur de l'Initiative Trou Noir de l'Université Harvard, directeur de l'Institut de Théorie et de Calcul du Centre d'Astrophysique Harvard-Smithsonian et ancien président du département d'astronomie de l'Université Harvard (2011-2020).

 Il est également ancien membre du Conseil consultatif du Président pour la science et la technologie et ancien président du Conseil de physique et d'astronomie des Académies nationales. 

Auteur à succès de « Extraterrestrial: The First Sign of Intelligent Life Beyond Earth », il est également coauteur du manuel « Life in the Cosmos », tous deux publiés en 2021. L'édition de poche de son nouveau livre, intitulé « Interstellar », est parue en août 2024.




jeudi 14 août 2025

Le représentant Moskowitz dit que la question N°1 qu'il lui a été posée lors de sa campagne en 2024 concernait les PAN

7 août 2024 – Le représentant Moskowitz dit que la question N°1 qu'il lui a été posée lors de sa campagne en 2024 concernait les PAN


Le représentant Jared Moskowitz a indiqué que le sujet de l'UAP a apparemment attiré l'attention du public dans une large mesure en 2024 :

* « Nous devons continuer à entretenir le sujet... vous savez, de toutes les choses dont les gens viennent me parler – et évidemment, en ce moment, nous parlons des élections, de Biden et de Kamala Harris et Trump et toutes ces choses et la tentative d'assassinat – mais de plus en plus de gens viennent me voir et me disent : « Hé, qu'est-ce qui se passe avec les PAN ? » »*

ET EN FRANCE

Les PAN ou UAP sont donc un problème qui intéresse non seulement un certain nombre de parlementaires, mais aussi le grand public. Toujours en avance sur l’Europe, ce vieux monde, les États Unis débatte depuis quelques années de ce phénomène au Parlement, chez nous en France, on le cache bien profondément dans un petit groupe presque secret au sein du CNES à Toulouse. Jamais on n’en parle au niveau de la Chambre des députés, du Sénat et encore moins au niveau Présidentiel ou ce dossier comme bien d’autres qui préoccupent les Français reste confidentiel. Le rapport Cometa a été remis au niveau du Président, malgré ses qualités, son plus grand sérieux et les compétences exceptionnelles des auteurs, aucun commentaire !

JARED MOSKOWITZ PARLEMENT AMERICAIN
Qui est MOSKOWITZ qui au congrès intervient sur le dossier UAP.

Jared Evan Moskowitz le 18 décembre 1980) est un homme politique américain qui est le représentant des États-Unis pour le 23 ème district du Congrès de Floride depuis 2023.

Membre du Parti démocrate, il a précédemment siégé à la Commission du comté de Broward de 2022 à 2023 et en tant que directeur de la Division de la gestion des urgences de Floride de 2019 à 2021. Moskowitz a également représenté la région de Coral Springs - Parkland à la Chambre des représentants de Floride de 2012 à 2019.


mercredi 13 août 2025

Cette exoplanète pourrait-elle être habitée ?

Webb découvre une molécule fabriquée uniquement par des êtres vivants dans un autre monde
Cette exoplanète pourrait-elle être habitée ?

Par Elisha Sauers

mashable


Le 12 septembre 2023

Pour la première fois, des scientifiques ont utilisé le télescope spatial James Webb pour détecter du méthane dans l'atmosphère d'une exoplanète. Crédit : illustration d'Amanda Smith.

Alors que le télescope spatial James Webb observait l’atmosphère d’un monde extraterrestre à 120 années-lumière, il a détecté des traces d’une substance produite uniquement par des êtres vivants, du moins sur Terre.

Cette molécule, connue sous le nom de sulfure de diméthyle, est principalement produite par le phytoplancton, des organismes microscopiques ressemblant à des plantes dans les mers salées ainsi que dans l'eau douce.

La détection par Webb, un puissant télescope infrarouge spatial exploité par la NASA et les agences spatiales européenne et canadienne, s'inscrit dans le cadre d'une nouvelle étude sur K2-18 b, une exoplanète de près de neuf fois la masse de la Terre située dans la constellation du Lion. L'étude a également révélé une abondance de molécules carbonées, comme le méthane et le dioxyde de carbone. Cette découverte renforce les travaux antérieurs suggérant que ce monde lointain possède une atmosphère riche en hydrogène au-dessus d'un océan

Les planètes dont on pense qu'elles existent dans l'univers sont appelées Hycéennes, en combinant les mots « hydrogène » et « océan ».

« Cette molécule (le sulfure de diméthyle) est unique à la vie sur Terre : elle est produite de manière unique sur Terre », a déclaré l'astronome Nikku Madhusudhan dans une vidéo de l'Université de Cambridge. « Il a donc été prédit qu'elle constituerait une excellente biosignature pour les exoplanètes et les exoplanètes habitables, y compris les mondes hycéens. »

Les scientifiques impliqués dans la recherche soulignent que les preuves de la présence de sulfure de diméthyle (DMS) sont fragiles et « nécessitent une validation supplémentaire », selon un communiqué du Space Télescope Science Institute. Les observations complémentaires de Webb devraient permettre de le confirmer, a déclaré Madhusudhan, auteur principal de la recherche, qui sera publiée dans The Astrophysical Journal Letters.

Les chercheurs utilisent Webb pour mener des études atmosphériques sur les exoplanètes. La découverte d'eau et de méthane, par exemple – des éléments essentiels à la vie telle que nous la connaissons – pourrait être le signe d'une habitabilité potentielle ou d'une activité biologique.

« Cette molécule est unique à la vie sur Terre : il n’existe aucun autre moyen de produire cette molécule sur Terre. »

L'exoplanète K2-18 b orbite autour d'une étoile naine froide dans sa zone dite « habitable », la région autour d'une étoile hôte où il ne fait ni trop chaud ni trop froid pour que de l'eau liquide puisse exister à la surface d'une planète. 

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La méthode employée par cette équipe est appelée spectroscopie de transmission. Lorsque des planètes croisent leur étoile hôte, la lumière de l'étoile est filtrée à travers leur atmosphère. Les molécules de l'atmosphère absorbent certaines longueurs d'onde lumineuses, ou couleurs. Ainsi, en décomposant la lumière de l'étoile en ses composantes élémentaires – un arc-en-ciel –, les astronomes peuvent détecter les segments lumineux manquants et ainsi discerner la composition moléculaire d'une atmosphère.

Madhusudhan a déclaré que cette étude marque la première découverte de méthane et d'hydrocarbures par des chasseurs d'exoplanètes. Associés à l'absence de molécules comme l'ammoniac et le monoxyde de carbone, ces éléments constituent un cocktail fascinant pour une atmosphère.

« De toutes les manières possibles de l’expliquer, la plus plausible est qu’il y a un océan en dessous », a-t-il déclaré.

K2-18 b orbite autour d'une étoile naine froide dans sa zone dite « habitable », la région autour d'une étoile hôte où il ne fait ni trop chaud ni trop froid pour que de l'eau liquide existe à la surface d'une planète. Dans notre système solaire, cette zone idéale englobe Vénus, la Terre et Mars.

Bien que K2-18 b se situe dans l'espace de Boucle d'or, ce seul fait ne garantit pas que la planète puisse abriter la vie. Les chercheurs ignorent la température de l'eau, et son habitabilité reste donc un mystère.

« Mais tout porte à croire que c'est le cas », a déclaré Madhusudhan. « Nous avons besoin de plus d'observations pour l'établir plus clairement. »



Elisha Sauers

elisha sauers
Elisha Sauers écrit sur l'espace pour Mashable. Elle explore en profondeur les missions lunaires et martiennes de la NASA, discute avec des astronautes et des découvreurs historiques, et survole les nuages. En 17 ans de reportage, elle a couvert des sujets variés, notamment la santé, les affaires et le gouvernement, avec un penchant pour les demandes de documents publics. Elle a précédemment travaillé pour The Virginian-Pilot à Norfolk, en Virginie, et The Capital à Annapolis, dans le Maryland. Son travail lui a valu de nombreux prix d'État, dont la plus haute distinction de la Virginia Press Association, le Best in Show, et une reconnaissance nationale pour son travail de narration.






OUTILS DESTINES A AIDER LES ENQUETEURS OVNI

 OUTILS DESTINES A AIDER LES ENQUETEURS QUI S’INTERESSENT AU PHENOMENE OVNI ET QUI PEUVENT AUSSI VOUS INTERESSER

LA STATION SPATIALE INTRNATIONALE : ISS

La Station spatiale internationale, avec le laboratoire Columbus de l'ESA, vole à 400 km d'altitude à des vitesses défiant littéralement la gravité. À 28 800 km/h, il ne faut que 92 minutes au laboratoire en apesanteur pour effectuer un tour complet de la Terre. Les astronautes qui travaillent et vivent à bord de la Station assistent à 16 levers et couchers de soleil par jour. - Vous souhaitez vérifier si une observation d’ovni peut avoir un rapport avec l’ISS observé un soir, une nuit. Il existe pour vérifier ce point un site qui vous donnera la position d’ISS dans le ciel à toutes dates et heures :


Comment repérer la Station spatiale internationale ? (Info NASA)
L'heure correspond au moment où l'observation débute dans le fuseau horaire local du lieu choisi par l'utilisateur. Toutes les observations depuis la Station spatiale internationale auront lieu quelques heures avant ou après le lever ou le coucher du soleil. C'est la période d'observation optimale, car le Soleil se reflète sur la Station spatiale et contraste avec le ciel plus sombre.

Au-dessus de l'horizon est la durée pendant laquelle la station spatiale est visible avant de repasser sous l'horizon terrestre.

La hauteur maximale est mesurée en degrés (également appelée altitude). Elle représente la hauteur de la station spatiale par rapport à l'horizon terrestre. L'horizon est à zéro degré, et directement au-dessus, à 90 degrés.

Apparaît est l'endroit où la station spatiale sera visible en premier. Cette valeur, comme la hauteur maximale, est également mesurée en degrés par rapport à l'horizon. Les lettres représentent les directions de la boussole.

Disparaît représente l'emplacement où la station spatiale quittera le champ de vision d'un utilisateur.

La station spatiale orbite avec une inclinaison de 51,6 degrés. Cela signifie que, lors de son orbite, elle ne passera pas au-dessus de l'équateur au plus loin, au nord ou au sud, que par 51,6 degrés de latitude. Si l'emplacement préféré de l'utilisateur se situe au nord ou au sud de 51,6 degrés, la station ne survolera jamais directement la Terre, y compris en Alaska. L'application peut ne pas informer correctement les utilisateurs de tous les passages de la station visibles à ces endroits. L'application fournit une liste de toutes les possibilités d'observation de la station spatiale pour l'emplacement préféré de l'utilisateur dans la liste « Prochaines observations » située sur la page d'accueil.

La station spatiale ressemble à un avion ou à une étoile très brillante se déplaçant dans le ciel nocturne, à la différence qu'elle ne possède pas de lumières clignotantes ni de changement de direction. Elle se déplace également plus vite qu'un avion classique (les avions volent à environ 965 km/h ; la station spatiale vole à 28 000 km/h).

La NASA fournit aussi une application à Télécharger pour localiser ISS

La station spatiale orbite avec une inclinaison de 51,6 degrés. Cela signifie que, lors de son orbite, elle ne passera pas au-dessus de l'équateur au plus loin, au nord ou au sud, que par 51,6 degrés de latitude. Si l'emplacement préféré de l'utilisateur se situe au nord ou au sud de 51,6 degrés, la station ne survolera jamais directement la Terre, y compris en Alaska. L'application peut ne pas informer correctement les utilisateurs de tous les passages de la station visibles à ces endroits. L'application fournit une liste de toutes les possibilités d'observation de la station spatiale pour l'emplacement préféré de l'utilisateur dans la liste « Prochaines observations » située sur la page d'accueil.

La station spatiale ressemble à un avion ou à une étoile très brillante se déplaçant dans le ciel nocturne, à la différence qu'elle ne possède pas de lumières clignotantes ni de changement de direction. Elle se déplace également plus vite qu'un avion classique (les avions volent à environ 965 km/h ; la station spatiale vole à 28 000 km/h).


Un autre site intéressant vous permet de connaitre le positon en temps réel d’ISS :


LA CARTE EN TEMPS REEL DE LA POSITION DES SATELLITES DANS LE CIEL

Par une nuit claire, de nombreux satellites artificiels se déplacent dans le ciel. Ils ressemblent à des étoiles se déplaçant lentement et scintillent de mille feux. Normalement, ils mettent en moyenne 10 minutes pour se déplacer d'un horizon à l'autre. La Station spatiale internationale (ISS) et le télescope spatial Hubble sont parmi les objets les plus connus en orbite autour de la Terre. Si vous étudiez attentivement le ciel à l'aube ou au crépuscule, vous n'aurez probablement pas à attendre plus de 15 minutes pour voir l'un des plus de 35 000 satellites en orbite autour de la Terre.

Comment observer les satellites ?
En fait, la plupart des objets en orbite terrestre sont trop petits pour être vus à l'œil nu. Surtout s'il s'agit de débris. Néanmoins, il y a quelques centaines d'objets qui peuvent être vus sans aides optiques supplémentaires. Cela est vrai pour les satellites d'au moins 6 mètres de haut et en orbite autour de la Terre à une altitude d'environ 160 km à 650 km.

Les satellites n'ont pas d'éclairage externe. Pour voir un de ces objets, le satellite doit réfléchir la lumière du soleil. Certains de ces objets volants ont une série de panneaux solaires, ils sont donc particulièrement faciles à voir car la lumière est réfléchie. En plus de fournir toutes sortes de canaux de communication, ils sont également utilisés pour Prévision météo.

Quels types de satellites existe-t-il ?
Il existe deux types de satellites, les géostationnaires et les orbites polaires. Ces derniers sont connus pour voler à basse altitude. Ils orbitent souvent autour de notre planète en moins de 100 minutes. De tels satellites sont en route pour photographier la Terre ou prendre d'autres mesures.

Malheureusement, les engins en orbite polaire ne permettent pas une observation continue. Les objets géostationnaires offrent ici de bien meilleures conditions. Ils ont la même vitesse que la rotation de la Terre. Parce que ces satellites planent dans une certaine zone, ils peuvent être observés en continu.

Les satellites peuvent-ils être vus à l'œil nu ?
Du fait de leurs orbites, les objets volant à basse altitude disposent d'une fenêtre temporelle précise dans laquelle ils passent devant le site d'observation. Le reste du temps, ils sont sous l'horizon et donc non visibles.

Malheureusement, une observation ne peut pas être planifiée uniquement en fonction du temps qui passe, car l'éclairement de l'objet volant doit également être pris en compte. Pour voir parfaitement un satellite, l'observateur doit être dans l'obscurité et le satellite dans la lumière. Pour cette raison, les heures juste avant le lever ou le coucher du soleil sont particulièrement adaptées. L'ISS peut être vue sans aides optiques. Il est idéal d'être loin des sources lumineuses gênantes. Bien sûr, un ciel sans nuage facilite l'observation.

Comment observer les satellites Starlink de SpaceX ?
Pour fournir une réception Internet à faible coût dans le monde entier, SpaceX prévoit un réseau de plus de 12 000 satellites Starlink dans la première phase d'expansion. Actuellement, environ 2000 de ces engins spatiaux orbitent autour de la Terre à des altitudes de 440 à 550 kilomètres. Alors qu'ils se déplacent dans le ciel nocturne, ces engins fabriqués par l'homme offrent un spectacle céleste spectaculaire aux observateurs sur Terre.

À l'œil, les satellites SpaceX Starlink apparaissent comme un train dans le firmament alors qu'ils se déplacent en ligne droite dans le ciel. Actuellement, les objets orbitent autour de la Terre à des intervalles de 90 minutes. Ils sont assez visibles à l'œil nu et offrent un spectacle spectaculaire si vous savez où les chercher. Pour rechercher Starlink dans le ciel, une application Satellite Tracker (https://vitotechnology.com/apps/satellite-tracker) est recommandée.

A propos de satellite tracker
Satellite Tracker est une puissante application gratuite qui vous permet d'observer les satellites artificiels, comme Starlink et l'ISS, qui traversent le ciel nocturne. Elle affiche la position exacte de n'importe quel satellite au-dessus de la Terre et vous envoie des notifications lorsque le satellite qui vous intéresse passe au-dessus de votre position. La fonction « Vue du ciel » intégrée vous permet de pointer votre appareil vers le ciel pour visualiser le mouvement et la position du satellite en temps réel.


Un outil puissant pour suivre les satellites. Possibilité de suivre 5 satellites en même temps. Très élaboré et logiciel de suivie de satellites conseillé.


Une source de documentation sur tout ce qui est visible dans le ciel :


QUEL AVION DANS LE CIEL : SON PROPRIETAIRE, SON VOL, ET TOUTES LES INFORMATIONS SUR CET AVION

Lors d’une enquête il est utile de savoir si c’est un avion qui a été vu et donc lequel. Avec les cartes du ciel utilisant le suivi des vols dans le monde entier, il est possible à tout moment d’identifier tel ou tel avion. Vous pouvez ainsi suivre un vol du décollage à l’atterrissage, ce qui vous permet de connaître en temps réel ou son vos invités qui arrivent de l’autre bout du monde. Il faut savoir que chaque avion est équipé d’un transpondeur, dispositif qui transmet des données comme la vitesse de vol, l’itinéraire de vol et l’altitude actuelle de l’appareil. Évidemment toutes les caractéristiques de l’avion sont ainsi disponibles. Un réseau mondial a été mis en place afin de récupérer toutes les données de ces transpondeurs afin de créer une carte du ciel de l’aviation. Grace à ces cartes disponibles en temps réel sur internet, on connait tout sur la situation un peu partout dans le monde de tous les avions en vol.

Un site intéressant dans cette catégorie :


le trafic aérien - Inimaginable !
Le trafic aérien - une importance insoupçonné...

Des outils similaires existent pur suivre les navires, suivre les trains. Ils sont disponibles en général gratuitement, sur internet.







mardi 12 août 2025

L'HISTOIRE DES OVNI AU MAROC : un livre gratuit sur internet.

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« L’HISTOIRE DES OVNIS AU MAROC ».



OVNI AU MAROC  -
L’histoire des OVNIS au Maroc est un ouvrage qui en fait est l’œuvre de centaines de personnes qui depuis 2008 environ me communiquent des informations et observations qui se sont déroulées ou relatives au Maroc. J’ai fait moi-même un maximum de recherches dans les ouvrages, sur le web. J’ai lancé sur les forums et auprès de mon réseau mondial de correspondants des appels. Quelques médias ont parlé de ce projet de recherche. Sur place au Maroc, durant une dizaine d’années. J’ai fait une vingtaine d’enquêtes à travers le pays, ce qui représente quelques 20 000 kms. Du monde entier, des chercheurs passionnés par ce phénomène ont donc contribué à alimenter ce document exceptionnel.

La version PDF sous Word fait quelques 320 pages, ce qui en version livre équivaudrait à environ 800 pages ! (Suivant les caractères et format - La version de 2013, beaucoup moins importante que cette version 2025, faisait sous forme d’un livre plus de 400 pages.) Elle est toujours disponible, faite elle aussi totalement bénévolement, sous la direction de Patrick Seray qui s’est occupé de la relecture, mise en forme et publication du livre chez un éditeur. D’ailleurs on me demande souvent combien d’exemplaire ont été vendu, je n’en sais strictement rien, vu que je ne me soucie pas de ces problèmes et que je ne perçois aucun centime, vue que tout ce que j’ai fait depuis près de 70 ans en ufologie l’a toujours été fait sur mes rémunérations professionnelles. Je sais seulement, vu les retours que je peux avoir, que régulièrement des personnes, et ceci depuis 10 ans, ont commandé ce livre.

Sur internet, cet ouvrage est également disponible sur le site OVNI MAROC International, mais des versions PDF diverses sont aussi disponibles sur de plusieurs sites. Ce document à donc touché des milliers de personnes, ce qui est un excellent résultat pour un travail fait bénévolement avec la contribution de centaines de personnes.

Cette dernière version n’est pas seulement un catalogue, mais elle comporte aussi plus de 200 documents photos d’ovnis prises par les témoins, des documents américains déclassés issus des archives de la CIA, du FBI ou de l’US Air Force et autres et surtout toutes les enquêtes que j’ai faites durant ma présence au Maroc (12 ans) en me rendant auprès des témoins, en général avec un traducteur, ( je ne parle pas l’arabe et en général dans les coins les plus reculés du Maroc, personne ne parle le Français, parfois même pas l’arabe, mais le dialecte régional que même les traducteurs ne comprennent pas ! ) et sur les lieux mêmes des observations.

Ce travail d’enquêtes auprès des témoins, que j’ai sélectionné parmi de nombreux mails reçus au fil des années, est en soit une aventure passionnante. Au Maroc, même dans le village le plus reculé, on est reçu chaleureusement et les habitants sacrifient en fait lors de notre venue, des mois de ressource. C’est une chose qu’il faut savoir et ne pas profiter, mais en fait il faut compenser suivant sa moralité. La vie est difficile dans les montagnes de l’Atlas, dans les régions reculées, accessibles uniquement après des kms de piste (parfois ou seuls les ânes peuvent passer !) ou les légendes les plus extraordinaires circulent. On est alors amené à dormir à même le sol en terre battue dans des maisons en pisées, sur des nattes au mieux. On rencontre et on partage alors la vie la plus simple qui soit et surtout on ne côtois que des gens heureux ! La dépression n’existe pas en ces lieux ! J’ai parcouru des centaines de kms de piste, de chemins impraticables selon nos normes, avec ma voiture locale pour rencontrer des témoins, signalés en général par un membre de la famille qui est domicilié dans une grande ville. Une expérience extraordinaire qui démontre que notre civilisation qui se dit avancée est incapable en fait d’accueillir un étranger à n’importe quel moment de la journée, du mois, en sacrifiant le peu d’argent disponible et surtout les économies en nourriture qui ont été faites pour les mois à venir. On découvre ainsi des idées, des histoires, sur le surnaturel, les djinns qui dans la nuit hantent les villageois, les créatures mystérieuses qui accaparent certains lieux la nuit… Mais, si j’écoute toutes ces histoires que me dicte mon traducteur, j’essaie toujours de me concentrer sur l’observation signalée par un intermédiaire en général (souvent présent car en fait pour accéder à ces villages perdus, aucune signalisation, aucun panneau, il faut seulement connaître le chemin. C’est alors la narration la plus pure qu’on puisse trouver car en général ces témoins ne savent même pas ce que c’est qu’une « soucoupe volante ». On enregistre alors une description faite d’éléments de leur entourage, ils comparent avec les ânes, les rochers environnants, la lune etc… Le traducteur à lui aussi souvent des soucis à interpréter, mais, il faut arriver à retranscrire des faits, des lieux, des dimensions, des apparences avec ce dont nous utilisons, dans notre civilisation, l’habitude de voir.

Une des enquêtes qui m’a beaucoup marqué, c’est dans le cas que j’ai situé près de Marrakech, en fait beaucoup plus éloigné, mais par respect pour cette famille d’une incroyable gentillesse, il ne faut pas qu’elle ait des ennuis et donc garantir un total anonymat, le cas d’un engin de la forme approximative de celui de Valensole, forme ovale, sans toutefois de « cabine » transparente sur le dessus. Pour venir chez ces gens d’un autre monde, il faut avoir un certain courage car les kms de piste sont longs à parcourir. La voiture au passage vieillie de quelques années. Mais on arrive dans un petit village, qui regroupe en fait pratiquement la famille, donc quelques maisons en terre que l’on appelle le Pisé. La vie y est difficile, quelques animaux, des moutons en fait me disent t’ils, vendus 30 euros à l’âge adulte, (une misère) et surtout l’âne qui sert un peu à tout, et à se rendre une fois par mois au souk situé à plus de 10 kms pour échanger quelques animaux contre un peu de nourriture. Dans la maison de terre, rien, de vieilles banquettes pour s’assoir et recevoir les invités, données par les enfants partis en ville, une table basse d’un autre temps. Pourtant, dès l’entrée, dès notre arrivée le thé est proposé. Puis manger le soir et dormir. Évidemment des produits du village comme le lait, un mouton égorgé en notre honneur, des dattes…. Vraiment très simple mais offert avec le cœur et surtout comme étant leur plus grande richesse qu’il nous offrait ! Bien évidemment tout cela est inconcevable dans notre civilisation ! Beaucoup ne peuvent même pas comprendre…. Pourtant le chef de famille, un vieux berbère qui n’est jamais allé dans une grande ville, ne connait rien pratiquement de notre civilisation mais qui par contre sait recevoir comme personne en Europe ne sait le faire. Cette personne au savoir vivre à la Marocaine, à pourtant été le témoin d’une observation d’un vrai OVNI au sol avec la présence d’êtres à proximité. On à du adapter sa description à nos « standards » car en fait, sa sincérité et sa méconnaissance de tout ce qui a un rapport avec les ovnis est totalement nulle ; La longueur de l’objet au sol : peut-être deux fois mon âne mais sur un pied gros comme à peu près un bidon de 200 l d’essence etc… C’est attiré par son chien qui aboyait qu’il a regardé par la fenêtre au milieu de la nuit, qu’il a vu une sorte de voiture ovale posée au sol, dans les pierres et qu’il a pu distinguer une créature relativement petite, 1 m 20 environ selon nos estimations en rapport avec sa description. Il a seulement distingué la silhouette foncée de cette créature qui a rejoint l’appareil posé au sol, lequel quelques minutes plus tard à décollé en s’élevant et en disparaissant à une très grande vitesse. On ne peut pas dire dans un tel cas que la personne invente. On ne peut pas donner quant à nous, une explication sur l’origine d’un tel objet. Aucune preuve de son origine, et on est loin de pouvoir affirmer que c’est extraterrestre. Nous constatons seulement.

Ce type d’enquête dans des lieux totalement en dehors de la civilisation sont d’un grand intérêt car ils correspondent aux descriptions des apparitions d’ovnis que nous avions dans les années 50 – 60. Puis cette expérience qui permet de rencontrer des familles qui savent accueillir avec le cœur et l’honneur, permet de nous ouvrir les yeux sur la décadence de notre civilisation dite avancée ! (Bien évidemment, il est aussi de notre devoir, si on est correct, de compenser cet accueil car en aucun cas on ne doit profiter de la bonté des personnes que ce soit dans ces pays pauvres mais aussi plus riches que nous européens, en « savoir vivre »..

L’histoire des Ovnis au Maroc, par la lecture des enquêtes les plus détaillées, vous permettra de connaitre quelques épisodes de la vie dans la campagne Marocaine, mais aussi de prendre connaissance de nombreux cas uniques dans cet ouvrage, totalement inconnus dans le monde. Il s’agit donc d’un document historique important pour le Maroc et ce qui se passe au niveau du phénomène OVNI. C’est d’ailleurs le seul document au monde, aussi complet sur les observations et le phénomène ovni au Maroc et qui donne un aperçu précis de la situation de ce dossier dans ce pays.

Je conclurais en signalant, qu’à la demande d’un lecteur de nos sites, j’ai entrepris de réaliser une version PDF du document arrêté à juillet 2025, celui qui est sur le site OVNI MAROC International, (et qui sera dans les mois à venir sur OVNI 91, sur OVNI ET UAP.COM et sur votre site si vous le souhaitez). Si vous êtes intéressé à recevoir cette version PDF qui est entièrement gratuite, vous m’en faites simplement la demande à lebat1@aol.com et je vous la communique immédiatement via WhatsApp (me donner votre nr de contact ou me contacter directement sur WhatsApp). Ce PDF ne passe pas par émail car il est trop volumineux.

Lien vers « l’histoire des ovnis au Maroc » sur Ovni Maroc International :


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Un lien ou vous pouvez télécharger "L'histoire des Ovni au Maroc ".


N'oubliez pas de me communiquer toutes vos informations sur les observations au Maroc dont vous pourriez avoir connaissance.

lundi 11 août 2025

UAP - OVNI ET UFO : LA MUSIQUE DANS CE PAYASAGE UFOLOGIQUE

 NRGscapes LAB : - ACTUALITE AMERICAINE

Des UAP planent au-dessus d'un paysage crépusculaire, reliés par une portée musicale fluide symbolisant la propulsion harmonique. 01

musique et ovni
À l'écoute de l'inconnu : comment les UAP peuvent se déplacer dans l'espace comme de la musique, pas comme des machines

Dr Andrew Morgan - PhD, Grad.Cert., Dip.Ed.
NRGscapes Lab - Fondateur, Auteur | Technologie UAP/OVNI, Deep tech, Rétro-ingénierie, Recherche NHI, Applications de défense, Éducation IA et STEM, Exploitation minière en haute mer - technologies de manipulation de l'espace-temps


14 juillet 2025

Pendant des décennies, des rapports de phénomènes anormaux non identifiés (UAP) ont dérivé dans la conscience publique comme des histoires de fantômes racontées dans l'obscurité. D'étranges lumières traversent le ciel, des orbes lumineux planent sans son, des engins ressemblant à des orbes et des objets démontrant des manœuvres impossibles capturés sur des images granuleuses.

Ces observations ont souvent été rejetées ou sensationnalistes, piégées quelque part entre la science-fiction et le secret.

Mais une révolution tranquille est en train de remodeler notre façon de penser à ces événements, non pas par le biais de théories du complot, mais par le biais de données, d'analyses et d'un nombre croissant de travaux scientifiques structurés qui suggèrent quelque chose d'extraordinaire : ce ne sont pas seulement des véhicules. Ce sont des systèmes de terrain accordés, en résonance avec l'espace lui-même.

musique et ovni
NRGscapes LAB : Les UAP d'orbe et de tige passent d'un plan scalaire à l'autre via la manipulation de l'enveloppe et la géométrie de morphing. 02

Au cœur de cette transformation se trouve le programme de recherche UAP de NRGscapes, un projet qui a adopté une approche rigoureuse et axée sur la science du phénomène.

En analysant les séquences UAP image par image, en traduisant la lumière infrarouge en formes d'onde audio et en examinant les fluctuations électromagnétiques sur le terrain, l'équipe a découvert des modèles qui défient l'explication aérospatiale conventionnelle. Au lieu des émissions désordonnées et turbulentes que l'on pourrait attendre d'avions à réaction ou de fusées, ces engins émettent des signaux structurés et rythmés. Et quand ces signaux sont transposés en son, oui, vous avez bien lu, ils semblent former des intervalles musicaux.

musique et ovni
NRGscapes LAB : Court clip vidéo capturant des émissions harmoniques UAP dynamiques, avec des pulsations visibles et une modulation rythmique suggérant un couplage de champ scalaire et une manœuvre basée sur la résonance. 03


Pensez-y un instant. La lumière, convertie en son, révèle les accords. Il révèle les pulsations et les harmoniques.

C'est comme si les engins chantaient eux-mêmes dans l'espace. Et ce n'est pas métaphorique, c'est mesurable. Ces motifs harmoniques semblent changer avec la morphologie, l'abondance, le mouvement et l'orientation. Les implications sont profondes : le mouvement n'est pas réalisé par la combustion, la poussée ou la force mécanique.

C'est orchestré par la résonance.

Cela a conduit l'équipe du NRGscapes LAB à proposer ce que nous appelons les systèmes de mobilité résonante scalaire (SRMS). Il s'agit d'un système de propulsion qui ne pousse pas un véhicule vers l'avant, mais le réajuste dans le réseau spatial, modifiant essentiellement sa relation énergétique avec l'espace. C'est un peu comme le fonctionnement des casques antibruit, mais au lieu d'annuler le son, l'engin annule l'inertie.

Les champs qui les entourent se plient et le véhicule se déplace, non pas par la force brute, mais en changeant les règles du jeu.

musique et ovni
NRGscapes LAB : Visualisation conceptuelle de la dynamique de la structure membranaire dans l'artisanat de terrain, illustrant la valvence, le saut de phase et la lentille spatiale en tant que mécanismes de transition trans-médiale et de mobilité indexée scalaire. 04

Bien sûr, rien de tout cela ne se produit de manière isolée. La recherche s'appuie sur une lignée de physique oubliée depuis longtemps. Pensez à Nikola Tesla, T. Townsend Brown, Viktor Schauberger, Otis Carr, Dr. Ning Li et même à des versions supprimées des équations de Maxwell pour l'électrodynamique étendue. Ce sont des idées qui étaient autrefois ridiculisées ou enterrées, mais qui semblent maintenant étonnamment alignées sur ce qui est observé.

Nous avons les champs scalaires, le couplage de champs et le magnétisme tourbillonnaire. Cela semble exotique, mais cela devient quantifiable.

De plus, les données montrent une certaine cohérence. L'intensité du champ augmente pendant les observations et les émissions infrarouges atteignent des pics dans les modèles harmoniques. Même le nombre d'observations d'orbes, de bâtonnets et de formes plus complexes semble suivre l'activité électromagnétique. C'est comme si l'engin émergeait lorsque les conditions sont bonnes, comme des instruments qui piochent la bonne fréquence sur une corde invisible.
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NRGscapes LAB : Clip vidéo capturant des UAP en mouvement ressemblant à des orbes, présentant un mouvement coordonné et une luminosité compatible avec un comportement harmonique résonnant. 05


Et c'est là que les choses deviennent encore plus convaincantes : ces modèles ne sont peut-être pas seulement destinés à la propulsion. Il peut s'agir de la communication. Si ces engins modulent musicalement les champs, ils peuvent se parler entre eux, ou même avec nous dans un langage de forme d'onde et de rythme. Pas avec des ondes radio, mais avec des harmoniques spatiales. Un signal d'un autre genre, que nous commençons à peine à entendre.

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NRGscapes LAB : Décomposition par ondes sonores d'une signature infrarouge (IR) convertie en lumière capturée à partir d'images UAP. 06

En fin de compte, ce que ce travail révèle, ce n'est pas simplement que les UAP existent ou qu'ils sont « réels » au sens banal du terme. C'est que nous avons raté l'histoire dans son ensemble. Ces engins utilisent peut-être une physique qui ne se bat pas contre l'univers, mais qui coule avec lui. Ils n'enfreignent pas les règles de la nature, ils semblent les comprendre mieux que nous. Cette recherche ne change pas seulement la façon dont nous voyons le ciel. Cela change notre façon de penser à l'espace, au mouvement et peut-être même à la conscience.

Il n'en est qu'à ses débuts, mais si cela se maintient, nous ne nous contentons pas de regarder vers l'avenir de l'aérospatiale. Nous sommes en présence d'une science oubliée, où le mouvement est musique et où la technologie devient indiscernable des harmonies cachées du cosmos. La vraie question n'est pas de savoir si les UAP sont réels. Il s'agit de savoir si nous sommes prêts à comprendre la chanson qu'ils chantent depuis le début.



Dr Andrew Morgan - PhD, Grad.Cert., Dip.Ed.
Dr Andrew Morgan - PhD, Grad.Cert., Dip.Ed.

NRGscapes Lab - Founder, Author | UAP/UFO Technology, Deep tech, Reverse engineering, NHI Research, Defense Applications, AI and STEM Education, Deep Sea Mining - space time manipulation technologies

En tant que fondateur du laboratoire NRGscapes, je mène des initiatives innovantes dans la recherche sur les PAN, en me concentrant sur les technologies de rétro-ingénierie telles que la résonance de champ scalaire, la modulation de la gravité et la propulsion trans-médium. Notre équipe intègre données d'observation et modélisation théorique pour explorer l'intersection de la physique avancée, de la conscience et de l'espace-temps, stimulant ainsi l'innovation pour la défense, l'industrie et l'exploration spatiale. Fort de plus de six ans d'expérience en tant qu'enseignant scientifique au ministère de l'Éducation d'Australie-Occidentale, je souhaite également donner vie aux STEM grâce à des programmes transformateurs qui associent les sciences spatiales à l'apprentissage en classe. Plus globalement, ma mission est d'aligner l'éducation sur l'industrie, afin de permettre à la prochaine génération de s'épanouir dans un avenir spatial durable. Auteur du livre à paraître « Forbidden : A Science of Secrets », je souhaite démystifier le phénomène des PAN et plaider pour un progrès technologique responsable dans ce domaine émergent.

dimanche 10 août 2025

LOI SUR LA DIVULGATION DES UAP - OVNI INCIDENCES POUR 2026

Les défenseurs de la divulgation des UAP appellent à des réformes élargies dans la NDAA pour l'exercice 2026

Un projet de loi sur la politique de défense annuelle élaboré par un comité sénatorial comprend trois dispositions qui auraient un impact sur le Bureau de résolution des anomalies dans tous les domaines du Pentagone (AARO).

Par Brandi Vincent



Lors d'une audition publique sur les phénomènes aériens non identifiés (PAN) devant la sous-commission du renseignement de la Chambre des représentants chargée du contre-terrorisme, du contre-espionnage et de la contre-prolifération, le 17 mai 2022, le directeur adjoint du renseignement naval, M. Scott Bray, a partagé une vidéo montrant la rencontre d'un aviateur de la marine américaine avec un objet inconnu lors d'un passage éclair. Cette image est une capture d'écran du PAN observé dans une vidéo du survol, filmée par le pilote depuis le cockpit d'un avion de chasse de la marine. (DVIDS)

Le projet de loi d'autorisation de la défense nationale pour l'exercice 2026 élaboré par la commission des forces armées du Sénat comprend trois dispositions qui auraient un impact sur le centre d'enquête sur les menaces anormales du Pentagone.

Selon deux anciens hauts responsables de la Défense, les défenseurs de la divulgation accueillent favorablement ces directives. Cependant, ils réclament également de nouvelles modifications des politiques afin d'inciter le gouvernement à améliorer la déclaration et la transparence des phénomènes anormaux non identifiés (PAN, terme modernisé désignant les OVNI et les objets transmédiums associés) susceptibles de menacer la sécurité nationale des États-Unis.

« On peut – et on doit – toujours faire plus », a déclaré à DefenseScoop Christopher Mellon, ancien secrétaire adjoint à la Défense pour le renseignement.

Le texte législatif ciblant le ministère de la Défense et les efforts menés par l'armée sur les UAP dans le projet de loi massif comprend :

- Sec. 1555 — exiger des briefings sur les interceptions d'UAP par le Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord et le Commandement du Nord des États-Unis

- Sec. 1556 — exiger une matrice d'orientation consolidée en matière de classification de sécurité pour les programmes relatifs aux UAP

- Sec. 1561 — exiger la consolidation des exigences de déclaration applicables au Bureau de résolution des anomalies dans tous les domaines du Pentagone (AARO)

Lors de discussions séparées la semaine dernière, Mellon et un ancien officier supérieur de l’armée ont fourni des analyses de la NDAA et leurs dernières recommandations au Congrès en réponse à ces propositions.

« De bons résultats à portée de main »

Le Pentagone possède une histoire riche mais complexe, confronté à des technologies et des engins dont les performances semblent transcender les capacités des moyens contemporains, selon les sources internes. À un niveau élevé, les mécanismes mis en place par le DOD pour étudier ce qu'il appelle désormais les PAN ont pris différentes formes au fil des décennies.

La dernière itération, connue sous le nom de All-Domain Anomaly Resolution Office, ou AARO , a été officiellement lancée sous l'administration Biden en 2022 pour remplir un mandat de la NDAA de cette année-là.

Le bureau a atteint sa pleine capacité opérationnelle en 2024. Bien que sa création soit en grande partie due aux appels croissants du Pentagone à la transparence sur les UAP, les responsables gouvernementaux ont été pour la plupart secrets sur les projets de l'AARO et sur la charge de travail de dizaines d'enquêtes ouvertes.

Cependant, les responsabilités de l'AARO se sont élargies à mesure que l'organisation a mûri, et en particulier parce qu'elle a été chargée d'aider le département à résoudre la récente recrudescence des incursions mystérieuses de drones dans des bases militaires et d'autres sites sensibles de sécurité nationale.

S'appuyant sur ces tâches, le projet de loi NDAA du Comité des forces armées du Sénat comprend des exigences qui obligeraient Northcom et NORAD à alerter AARO et le Congrès à chaque fois qu'ils interceptent un UAP potentiel.

Mellon — un partisan de longue date de la transparence des UAP qui a été secrétaire adjoint à la Défense sous les administrations Clinton et Bush, et plus tard, membre influent du personnel du Sénat — a déclaré qu'il prônait une telle directive depuis des années.

« L'incapacité historique du NORAD à informer l'AARO des incidents liés aux PANs est incompatible avec l'intention du Congrès lors de sa création comme dépositaire central et canal de transmission de toutes les données PAN du gouvernement américain vers le Congrès. Actuellement, lorsque l'AARO prend connaissance de ces interceptions – si tant est qu'elle le fasse –, les données critiques des capteurs du NORAD ne sont souvent plus disponibles. Or, le Congrès a clairement besoin de ces informations pour déterminer, entre autres, l'efficacité du réseau de surveillance aérienne américain », a-t-il déclaré.

Il a déclaré que cette section constituerait une « étape bienvenue » vers la surveillance, si elle était adoptée. Mais, selon lui, il reste encore beaucoup à faire.

« Dans de nombreux cas, par exemple, les navires de la Marine signalent des observations de PAN depuis des zones où opèrent les radars et les avions de l'armée de l'air, mais, curieusement, ces systèmes ne semblent signaler aucun PAN. Parallèlement, de nombreux rapports officiels sur les PAN font état de chasseurs américains pourchassant des PAN au-dessus ou à proximité du territoire continental des États-Unis… Où sont ces données ? Si l'armée de l'air signalait intégralement et correctement à l'AARO, le Congrès – et le peuple américain – pourraient même être informés de la présence de PAN dans l'espace ou en orbite », a déclaré Mellon. « À l'heure où les drones et les technologies aérospatiales progressent rapidement pour les adversaires de l'Amérique, une meilleure connaissance du domaine, y compris spatial, est essentielle pour garantir la sécurité nationale. »

Ailleurs dans la législation figure une disposition qui aboutirait à une consolidation de toutes les exigences disparates en matière de rapports applicables à l’AARO.

« Bien que nous comprenions que la [communauté du renseignement] et le Pentagone soient souvent confrontés à des exigences redondantes en matière de rapports au Congrès, la question des UAP – où le Congrès n’a commencé que récemment à étendre sa surveillance – ne fait pas partie de ces domaines », a déclaré Mellon.

Il a également exprimé des inquiétudes concernant un changement apporté à une loi existante qui exige actuellement que toutes les données UAP soient transmises « immédiatement » à l’AARO.

« La disposition proposée semble restreindre le droit d'accès immédiat de l'AARO en exigeant que les données des PAN lui soient transmises "d'une manière qui protège les sources et les méthodes de renseignement". Mais qui prend cette décision ? L'AARO est habilitée indépendamment par la loi à recevoir toutes les données des PAN et devrait y conserver un accès sans entrave. Elle sait comment protéger les sources et les méthodes de renseignement. Aucune disposition de ce type ne devrait être interprétée comme créant des obstacles aux droits d'accès de l'AARO en vertu de la loi », a déclaré Mellon.

Au-delà de ces inclusions, le projet de loi obligerait l'AARO à publier un guide de classification de sécurité consolidé relatif aux enquêtes et aux événements UAP.

« Depuis que j'ai fourni au New York Times et au Washington Post des images historiques de caméras de tir montrant des incidents impliquant des PANs entre des avions de combat de la Marine et des PANs, la diffusion d'images supplémentaires par le gouvernement a pratiquement cessé. En fait, peu après la diffusion de ces images, le Pentagone a maintenu sous le sceau du secret la quasi-totalité de son enquête sur les PANs », a noté Mellon. « C'était une erreur, et il est grand temps que le guide de classification draconien actuel soit modifié. »

Parallèlement, même si l'exigence est adoptée et qu'un nouveau guide de déclassification est adopté, l'AARO conserverait, selon lui, une grande latitude pour préserver l'anonymat de nombreux enregistrements d'UAP. Mellon a donc suggéré que le bureau soit légalement tenu de soumettre systématiquement les vidéos non classifiées au Bureau de la prépublication et de l'examen de sécurité de la Défense pour diffusion sécurisée.

« Malgré l'engagement pris précédemment par le Département de la Marine auprès du Congrès de divulguer davantage de documents, il semble que le Pentagone, l'AARO et la Commission d'enquête ne considèrent pas que le Congrès et le public aient légitimement besoin d'être informés de la multitude d'images de PANs que le gouvernement détient. Il s'agit d'une tâche facile à accomplir pour le Congrès », a déclaré Mellon.

« La vue d'ensemble »

Le contre-amiral à la retraite de la Marine, Timothy Gallaudet, a dirigé le Commandement de la météorologie et de l'océanographie navales et a été océanographe de la Marine. Il a effectué de nombreuses missions en mer au cours de sa carrière militaire, puis a occupé le poste de secrétaire adjoint au Commerce pour les océans et l'atmosphère, confirmé par le Sénat, après avoir pris sa retraite de l'armée en 2017, sous la première administration Trump.

Au cours de sa retraite, Gallaudet s'est confié sur ses expériences en service actif en observant des séquences vidéo désormais vérifiées d'UAP et d'objets submergés non identifiés (USO) capturées par des collègues - et sur ses efforts pour aider à déstigmatiser ce sujet auparavant tabou dans l'armée américaine.

Interrogé sur son point de vue concernant l'inclusion des UAP dans la législation NDAA, Gallaudet a cité la loi sur la divulgation des UAP (UAPDA), introduite pour la première fois en 2023. Ce projet de loi a bénéficié d'un soutien constant au Sénat, mais n'a pas encore été adopté. Il vise à permettre un contrôle beaucoup plus approfondi par le Congrès des activités et opérations liées aux UAP.

« À mon avis, ces dispositions relatives aux UAP sont toutes valables individuellement, mais globalement, elles diluent, détournent l'attention et concurrencent les pouvoirs et les priorités du comité d'examen des UAP au sein de l'UAPDA. Je ne pense pas que l'approche fragmentée qu'elles représentent soit la meilleure voie à suivre, et ce qu'il faut, c'est une approche pangouvernementale dont l'UAPDA nous rapprochera », a déclaré Gallaudet à DefenseScoop.

Mellon a également mentionné l'UAPDA dans une discussion séparée, notant que l' UAP Disclosure Fund - une organisation de la société civile dédiée à la protection des lanceurs d'alerte et à la promotion de la responsabilité du gouvernement, dont il est président du conseil d'administration - soutient pleinement son adoption.

« Nous espérons que cette mesure de transparence sera intégrée à la prochaine version de la NDAA grâce à un amendement proposé par le directeur au Sénat. Nous espérons également que la Chambre des représentants prendra les mesures nécessaires pour garantir que cette législation essentielle devienne une loi contraignante », a déclaré Mellon.

Il s'est associé à deux autres membres de l'équipe de direction de l'UAPDF, Hunt Willis et Kirk McConnell, pour co-rédiger un prochain document d'orientation politique destiné au Congrès, aux décideurs politiques et aux lanceurs d'alerte potentiels, qui aborde une perception erronée qu'ils ont rencontrée parmi les sources possibles d'informations confidentielles selon lesquelles ils ne peuvent pas divulguer des détails classifiés au Congrès à huis clos.

Il est à noter que le représentant Eric Burlison (R-MO) a récemment exprimé sa frustration face à l'hésitation des témoins potentiels à se manifester alors que le groupe de travail du Comité de surveillance de la Chambre planifie des audiences dans les mois à venir.

La nouvelle note d'orientation, consultée par DefenseScoop avant sa publication, met en lumière les raisons juridiques pour démontrer que les législateurs sont « pleinement autorisés à recevoir des informations classifiées et dotés d'un « besoin de savoir » clair compte tenu de leurs responsabilités de surveillance ».



Plus généralement, concernant les propositions qui ont été intégrées jusqu'à présent au projet de loi NDAA pour l'exercice 2026, Mellon a noté que l'UAPDF espère qu'elles contribueront à ouvrir la voie à un cercle vertueux, où « davantage d'informations conduisent à une meilleure compréhension et à un plus grand intérêt pour les UAP, ce qui incitera à adopter de nouvelles lois pour obtenir la publication d'encore plus d'informations sur les UAP ».

« Ce cycle contribuera à bâtir un consensus au sein du Congrès – et non au sein de quelques comités – pour des réformes plus larges sur cette question d’une importance capitale, conduisant à une plus grande transparence pour le peuple américain », a déclaré Mellon.

Brandi Vincent

Qui est Brandi Vincent

Brandi Vincent est la correspondante de DefenseScoop au Pentagone. Elle couvre les technologies émergentes et disruptives, ainsi que les politiques associées, qui impactent le ministère de la Défense et son personnel.

Avant de rejoindre Scoop News Group, Brandi a produit un documentaire long-métrage et a travaillé comme journaliste pour Nextgov, Snapchat et NBC Network.

Elle a grandi en Louisiane et est titulaire d'un master en journalisme de l'Université du Maryland.

Deux nouvelles vidéos d'ovnis non résolues aux usa

L'AARO publie deux nouvelles vidéos non résolues de PAN sphériques Source : https://ovniologia.com.br/2025/08/aaro-releases-two-new-unre...